« Le canoë traverse l’espace comme une lame cisaille le fleuve. Une errance que l’on nomme passion : deux collectionneurs, France et Pierre Arnaud, à travers les rapides de l’Art. Des arbres nocturnes qui ciment jusqu’au ciel où se projettent des canoës, images inversées d’un second monde qui n’est pas captif. Dans l’ourlet de l’eau aux milles ondes, ils dérivent loin des querelles de l’esprit. Un repos du fleuve, un miroir où s’éclipse la parole “une fausse image ne se reflète jamais”. » Tony Soulié
